Sanctions contre le Mali : les investisseurs étrangers bientôt au rendez-vous ?

Alors que le sommet de la Cedeao du 4 juin à Accra n’a pas permis de trouver un consensus, reportant au 3 juillet les décisions concernant les sanctions à l’encontre de Bamako, JA fait le point sur l’action des autorités de transition visant à renflouer les caisses de l’État.

Lors du sommet extraordinaire de la Cedeao à Accra, au Ghana, le 25 mars 2022. © Misper Apawu/AP/SIPA

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Publié le 7 juin 2022 Lecture : 3 minutes.

Gel des avoirs de la Banque centrale, sanctions commerciales des pays de la Communauté économiques des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), rupture de l’aide internationale… Alors que le Mali semble à court de soutiens économiques, les autorités du pays n’ont de cesse d’en vanter les atouts dans l’espoir d’attirer les investisseurs.

« Vous avez les mines d’or, les réserves de gaz, les deux plus grands fleuves de l’Afrique de l’Ouest (Niger et Sénégal), plus de 3 millions d’hectares de terres potentiellement aménageables. Le bétail malien est le deuxième plus grand d’Afrique de l’Ouest après le Nigeria. D’ailleurs, le déficit énergétique peut également intéresser des investisseurs », avançait ainsi le Premier ministre Choguel Maïga, lors de l’édition 2022 du Doha Forum en mars.

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