Chine-Angola : à Catoca, le signal faible d’une fin d’idylle ?
La co-entreprise China Sonangol, qui détient près de 20 % des parts dans le principal gisement de pierre précieuse du pays, a vu sa participation bloquée. Son nom est cité dans plusieurs dossiers liés à des soupçons de corruption.
C’est un nuage dans le ciel habituellement dégagé des relations entre Pékin et Luanda. La justice angolaise a saisi la participation de l’actionnaire chinois présent au capital de la société minière angolaise Catoca, qui exploite le principal gisement de diamants du pays et la quatrième plus grande mine à ciel ouvert au monde de cette pierre précieuse.
Révélée par le Financial Times puis confirmée par la presse angolaise ces derniers jours, la saisie de cette participation remonte pourtant à quelques mois, à savoir au dernier trimestre 2021, selon des informations recueillies par Jeune Afrique.
Saisie contestée
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