Prêts à relever le défi
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Selon l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft), l’Algérie prévoit d’investir 300 milliards de dollars sur cinquante ans dans la filière, pour produire 60 milliards de m3/an de gaz de schiste. Ces estimations sont fondées sur des résultats d’études effectuées notamment par les experts du département américain de l’Énergie et de la Sonatrach, qui estiment – à la hausse en 2013 – les réserves algériennes de gaz de schiste récupérables à plus de 19 820 milliards de m3 (contre 6 440 milliards en 2011). Comparativement, les réserves exploitables seraient de 35 000 milliards de m3 en Chine et de 25 000 milliards au États-Unis. Les opérateurs attendent donc avec impatience les textes d’application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures (entrée en vigueur en mars) pour lancer leurs projets d’exploration dans les différents blocs déjà identifiés, à l’instar de celui de Sonatrach, Total et Partex à In Salah, dans le bassin de l’Ahnet.
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