Criminalité transfrontalière : conclave policier à Kinshasa

Du 7 au 11 octobre à Kinshasa (RDC), les représentants du Comité des chefs de police de l’Afrique centrale (CCPAC) se sont réunis pour aborder les questions de criminalité transfrontalière. Objectif : harmoniser la coopération.

Un fourgon de police congolais (RDC). © AFP

Un fourgon de police congolais (RDC). © AFP

Publié le 17 octobre 2013 Lecture : 1 minute.

Comment lutter contre la criminalité transfrontalière ? Les participants à la 14e session du Comité des chefs de police de l’Afrique centrale (CCPAC) ont beaucoup réfléchi à la question, du 7 au 11 octobre à Kinshasa. Les représentants des huit pays concernés misent sur un "plan plus souple" que la traditionnelle procédure d’extradition des délinquants, jugée "trop lourde et trop lente". Bref, il s’agit de contourner la voie judiciaire et de privilégier la remise "de police à police". Les criminels en cavale à l’étranger sont prévenus : une fois arrêtés dans un État membre du CCPAC, ils seront rapidement remis à la police de leur pays d’origine.

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