Banque mondiale : Andrew Dabalen, cheville ouvrière de la mue de l’institution de Bretton Woods
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. La Banque mondiale a choisi le Kényan pour succéder au Camerounais Albert Zeufack au poste d’économiste en chef pour l’Afrique subsaharienne. Son expertise en matière de lutte contre la pauvreté a été déterminante dans ce choix.
Pauvre un jour, pauvre toujours ? Le titre de ce billet de blog signé par Andrew Dabalen pourrait résumer le CV de celui qui est devenu, le 1er juillet, l’économiste en chef pour l’Afrique subsaharienne de la Banque mondiale.
Sa fiche de poste est aussi courte que complexe à appliquer : il s’agit d’analyser les problèmes urgents et de structurer des réformes politiques et institutionnelles pertinentes pour y remédier. Andrew Dabalen, né au Kenya et formé aux États-Unis, est spécialiste du développement international (maîtrise à l’université de Californie, Davis en 1992), d’agriculture et de ressources naturelles (doctorat à l’université de Californie, Berkeley en 1998).
La dynamique de la pauvreté
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