Algérie : Sonatrach tient le bon filon
Pas une, ni deux, mais trois nouvelles découvertes ont été annoncées par la major algérienne. Identité du partenaire, localisation et capacités de production… Ce que l’on sait de la énième manne pétro-gazière de Sonatrach.
En marge de la signature, mi-juillet, d’un accord gazier de 4 milliards de dollars, le président algérien Abdelmadjid Tebboune s’était montré rassurant envers « [s]on ami » Mario Draghi, désormais ex-président du Conseil des ministres italien. L’Algérie, dont les réserves de gaz naturel avoisinent les 2 400 milliards de m3, souhaite être « l’un des fournisseurs de l’Europe en énergies électrique, solaire et conventionnelle ».
Une ambition refondée pour satisfaire les besoins énergétiques de l’Union européenne, en froid avec la Russie, fournisseur historique de gaz pour le Vieux Continent. Mais, surtout, pour surfer sur la volatilité des cours des hydrocarbures et donner un nouveau souffle à l’économie algérienne, ultra-dépendante de son industrie pétro-gazière.
Puissance 3
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- Doublé par la junte au Mali, Maroc Telecom restera-t-il dans le pays ?
- Chez Itoc au Sénégal, les enfants de Baba Diao revisitent la gouvernance du groupe
- Carburant en Afrique : pourquoi les exportateurs mondiaux jouent des coudes pour a...
- « Neuf des vingt pays qui présentent les taux de croissance les plus forts au mond...
- Sénégal : à quoi doit servir la nouvelle banque de la diaspora ?