Libye : un tribunal français exige le remboursement des créances de l’ère Kadhafi
Le tribunal judiciaire de Paris, en confirmant que la NOC est une émanation de l’État libyen, autorise les créanciers de la Libye à se rembourser via les actifs de la compagnie nationale pétrolière libyenne.
Le 1er septembre, le tribunal judiciaire de Paris a qualifié la compagnie nationale pétrolière libyenne, la NOC, d’émanation de l’État libyen. Une décision en première instance qui ouvre la voie au recouvrement, via les actifs de la NOC en France, des créances de trois sociétés suisses auprès de l’État libyen : Jallouli Communications Group Easymedia, Sysmed Travel et Hôpital de la Tour.
Selon la décision de justice, que Jeune Afrique a pu consulter, en 2017, à l’issue d’un arbitrage, l’État libyen s’était engagé à « verser diverses sommes » aux trois sociétés.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Politique
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?
- Législatives au Sénégal : Pastef donné vainqueur
- Au Bénin, arrestation de l’ancien directeur de la police
- L’Algérie doit-elle avoir peur de Marco Rubio, le nouveau secrétaire d’État améric...
- Mali : les soutiens de la junte ripostent après les propos incendiaires de Choguel...