Maroc-France : Hélène Le Gal, un bilan en dents de scie
En poste depuis trois ans, l’ambassadrice de France à Rabat n’est pas parvenue à imprimer sa marque et à réchauffer les relations entre les deux pays.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/09/08/jad20220908-mmo-maroc-france-helenelegal-1256x628-1662740182.jpg)
Hélène Le Gal. © DR
En posant ses valises à Rabat en septembre 2019, Hélène Le Gal doit aussitôt prendre la mesure de l’ampleur de la tâche qui l’attend. Sept ans après le refus de sa nomination au même poste à Kigali par le président rwandais Paul Kagame, en raison, notamment, de sa proximité avec Alain Juppé – lequel n’a pas la cote au Rwanda –, cette Bretonne d’origine accède à l’une des ambassades les plus convoitées par les diplomates français.
Mais alors que se multiplient les signaux laissant penser que son séjour rbati touche à sa fin, son bilan est jugé décevant côté marocain. Hélène Le Gal était-elle une erreur de casting, ou a-t-elle fait figure de bouc émissaire dans les mauvaises relations entre la France et le Maroc ?
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement