Guinée : Mamadi Doumbouya exige le retour immédiat d’Alpha Condé
Selon les informations de Jeune Afrique, un bras de fer est engagé entre le président de la transition guinéenne et le groupe turc Albayrak, proche du chef de l’État Recep Tayyip Erdogan, afin qu’il facilite le départ d’Istanbul d’Alpha Condé. Explications.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/05/05/jad20220505-ass-guinee-justice-alphaconde-1256x628-1662819541.jpg)
Alpha Condé à Paris, en novembre 2018. © Benoît Tessier/REUTERS
Le 7 septembre, aux environs de 20 heures, un groupe de militaires guinéens a fait irruption au port autonome de Conakry, afin de mettre sous pression le conglomérat turc Albayrak. Le président de la transition, Mamadi Doumbouya, souhaitait faire passer un message, sous forme d’ultimatum : il donne à ses dirigeants 72 heures pour organiser le retour en Guinée d’Alpha Condé. Sous peine de devoir cesser leurs activités.
L’ire de Doumbouya
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »