Ligue arabe : Maroc ou Algérie, les États membres doivent choisir leur camp

À quelques semaines du sommet de la Ligue arabe à Alger, les États membres peinent à s’accorder sur une série de dossiers brûlants. Une mésentente en partie liée à la constitution, autour du Rabat et d’Alger, de deux axes antagonistes à cheval entre l’Afrique et le Moyen-Orient. 

Réunion préparatoire des ministres des Affaires étrangères avant le 30e sommet de la Ligue arabe, à Tunis, le 29 mars 2019. © FETHI BELAID/AFP

Publié le 25 septembre 2022 Lecture : 6 minutes.

« Le sommet sera un succès », affirmait encore Ahmed Aboul Gheit, le secrétaire général de la Ligue arabe, au mois de juin dernier. Pourtant, à mesure que l’événement reporté depuis deux ans et qui doit se tenir en Algérie les 1er et 2 novembre prochain – approche, l’idée d’un « sommet unificateur et inclusif » vantée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune ressemble de plus en plus à un

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