AFD : Rémy Rioux, l’Afrique et le troisième mandat
Proposée par le chef de l’État, la nomination de l’actuel directeur général de l’Agence française de développement à sa propre succession a été validée par les parlementaires le 21 septembre. Une récompense pour celui qui entend incarner à sa manière la nouvelle relation entre la France et l’Afrique voulue par Emmanuel Macron. Explications.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/09/23/jad20220923-eco-afd-remy-rioux-1256x628.jpg)
Rémy Rioux, le directeur général de l’Agence française de développement (AFD), dans son bureau à Paris, le 15 janvier 2020. © Vincent Fournier/JA
Ses auditions devant les commissions des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, le 14 septembre, et surtout du Sénat, le 21 septembre, tombaient mal. Rémy Rioux n’a pas pu aller à New York se mêler au gratin de la diplomatie mondiale pour assister à la 77ème Assemblée générale des Nations unies, et être au plus près des réunions de haut niveau, à commencer par le sommet extraordinaire de la
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement