Algérie : Ali Aoun, un profil atypique pour booster l’industrie pharmaceutique
Accusé de corruption, associé au scandale de la banque Khalifa, condamné à une peine de prison avant d’être acquitté, le nouveau ministre revient de loin. Production locale et disponibilité des vaccins et des médicaments sont ses priorités.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/09/29/jad20220929-mmo-algerie-aoun-1256x628-1664541653.jpg)
Ali Aoun, ministre algérien de l’Industrie pharmaceutique © @Ministère de l’Industrie pharmaceutique
C’est un gestionnaire flegmatique, farouche défenseur de la production nationale de médicaments, qui est depuis le 9 septembre à la tête du ministère de l’Industrie pharmaceutique. Un poste ô combien stratégique, la pandémie de Covid-19 ayant mis en évidence une réalité que chacun connaissait, sans toutefois en mesurer toutes les conséquences : que ce soit en matière de vaccins, de médicaments ou
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »