Algérie : Ali Aoun, un profil atypique pour booster l’industrie pharmaceutique
Accusé de corruption, associé au scandale de la banque Khalifa, condamné à une peine de prison avant d’être acquitté, le nouveau ministre revient de loin. Production locale et disponibilité des vaccins et des médicaments sont ses priorités.
C’est un gestionnaire flegmatique, farouche défenseur de la production nationale de médicaments, qui est depuis le 9 septembre à la tête du ministère de l’Industrie pharmaceutique. Un poste ô combien stratégique, la pandémie de Covid-19 ayant mis en évidence une réalité que chacun connaissait, sans toutefois en mesurer toutes les conséquences : que ce soit en matière de vaccins, de médicaments ou
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