Tchad : la menace Boko Haram

Les traces d’un attentat revendiqué par Boko Haram, près d’Abuja, en décembre 2012. © AFP/Getty Images

Les traces d’un attentat revendiqué par Boko Haram, près d’Abuja, en décembre 2012. © AFP/Getty Images

Publié le 13 février 2013 Lecture : 1 minute.

Mis à jour le 14/02 à 11h00.

De source diplomatique, quelque 500 membres de Boko Haram, la secte islamiste nigériane, auraient réussi à s’infiltrer à N’Djamena. Une information non confirmée et difficilement vérifiable. Des sources sécuritaires anonymes ont d’ailleurs contesté l’ampleur de ce chiffre sur RFI, tout en admettant avoir procédé à des dizaines d’interpellations.

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En octobre 2012, les mesures de sécurité avaient été renforcées à l’aéroport international Hassan-Djamous, la secte ayant lancé des menaces afin de dissuader le Tchad d’intervenir dans le Nord-Mali. Depuis qu’un contingent de 1 800 hommes soutient les forces françaises de l’opération Serval, le Groupement mobile d’intervention de la police (Gmip) multiplie patrouilles, contrôles d’identité et fouilles de véhicules dans les rues de la capitale – surtout la nuit, bien sûr.

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