Sahel : entre Iyad Ag Ghali et Abu al-Bara al-Sahraoui, la guerre des (chefs) jihadistes

Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) et l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) se livrent une guerre acharnée dont les civils sont les premières victimes.

Depuis le début de l’année 2020, Iyad ag Ghali et Abu al-Bara al-Sahraoui se livrent une lutte sanglante. © DR – Montage JA

MANON-LAPLACE_2024

Publié le 17 octobre 2022 Lecture : 4 minutes.

Ils ont un temps cohabité, parfois même coopéré. Mais depuis le début de l’année 2020, les combattants des deux principales nébuleuses jihadistes qui sévissent dans le Sahel se livrent une sanglante lutte de territoire et d’influence. D’un côté, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou JNIM, selon l’acronyme arabe), dirigé par le Touareg malien Iyad Ag Ghali. De l’autre, l’État

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

En Mauritanie, le film de l’évasion des terroristes

Jihadisme : les racines sociales de la radicalisation

Au Mali, Iyad Ag Ghali défie Assimi Goïta

Face aux insurrections, le Sahel à un tournant

Mali : Iyad Ag Ghaly, l’homme qui ne meurt jamais

Contenus partenaires