Cameroun : Fecafoot et Coq sportif, le divorce impossible ?
La justice française vient d’ordonner le maintien du contrat entre la Fédération camerounaise de football et l’entreprise française. Une décision qui relance le débat sur l’équipementier des Lions indomptables, à moins d’un mois du début de la Coupe du monde de football.
La saga qui oppose la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) de Samuel Eto’o à l’équipementier français Le Coq sportif (LCS) vient de connaitre un nouvel épisode. Après trois mois de joutes politico-judiciaires, le tribunal judiciaire de Paris a rendu son verdict dans cet épineux dossier, qui cristallise les attentions aussi bien à Paris qu’à Yaoundé.
Selon les termes de la décision, le président du tribunal judiciaire de Paris ordonne « le maintien des relations contractuelles entre la société LCS International et la Fédération camerounaise de football au titre des contrats de partenariat équipementier et de licence conclus le 10 janvier 2020, jusqu’au terme du contrat, soit au 31 décembre 2023 ». La Fecafoot a également été condamnée « à payer à la société LCS International la somme de 3 000 euros, au titre des frais irrépétibles ».
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