UA : Dlamini-Zuma et le panafricanisme
Nkosazana Dlamini-Zuma, la nouvelle présidente de la Commission de l’UA, souhaite profiter du sommet des chefs d’État de l’Union africaine (UA) en avril pour célébrer le panafricanisme et la renaissance africaine.
![La Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma a remplacé le Gabonais Jean Ping. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2012/12/14/012122012175734000000002082012085200000000daadaddaddd.jpg)
La Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma a remplacé le Gabonais Jean Ping. © AFP
Le traditionnel sommet des chefs d’État de l’Union africaine (UA) du mois de juillet sera l’an prochain avancé au mois d’avril, afin de le faire coïncider avec le cinquantième anniversaire de la création de l’Organisation de l’union africaine (OUA), le 25 mai 1963 à Addis-Abeba. Nkosazana Dlamini-Zuma, la nouvelle présidente de la Commission de l’UA, souhaite profiter de l’événement – à l’organisation duquel ses conseillers travaillent déjà – pour célébrer le panafricanisme et la renaissance africaine.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »