COP27 : et si c’était le sommet de la dernière chance ?

Il est indispensable que les nations développées changent de discours lors de la conférence des Nations unies sur le climat qui se tient actuellement à Charm el-Cheikh. Mais rien ne prouve qu’elles le feront.

© Vincent Fournier / JA – Montage JA

Patrick Smith est le rédacteur en chef de The Africa Report, un magazine mensuel qui se concentre sur la politique et l’économie en Afrique. © DR
  • Patrick Smith

    Patrick Smith est le rédacteur en chef de The Africa Report (une publication de Jeune Afrique Media Group).

Publié le 7 novembre 2022 Lecture : 3 minutes.

Les quatre cavaliers de l’apocalypse climatique – conflits, pénuries alimentaires chroniques, phénomènes météorologiques extrêmes et maladies vectorielles – galopent à une allure de plus en plus soutenue. Au Sahel, sur le littoral de l’océan Indien et dans la Corne de l’Afrique, ils frappent déjà de plein fouet. C’est pourquoi de jeunes activistes descendent dans les rues pour exiger des mesures solides : un nouvel accord vert et les financements nécessaires à sa mise en œuvre.

Changement en profondeur

Les manifestants s’unissent également pour réclamer un changement en profondeur du système multilatéral. Cela va de la restructuration du Conseil de sécurité des Nations unies à la réforme de ses agences spécialisées, mais aussi du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale.

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