Gabon : Pascaline Bongo, la justice française et les « biens mal acquis »
Dans l’affaire dite des biens mal acquis, le (pré)nom de Pascaline Bongo, fille de l’ancien président du Gabon Omar Bongo, n’a jusqu’ici jamais été cité par les médias français, ni même par les plaignants – ce qui est curieux.
![Pascaline Bongo, en 2008. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2012/11/15/015112012090744000000024112011114858000000bvbbvbvbvbvbvbbvbvbbvpascal.jpg)
Pascaline Bongo, en 2008. © AFP
Fille aînée et ex-directrice de cabinet d’Omar Bongo, son feu père, Pascaline Bongo (56 ans), qui est défendue par son amie l’avocate (et consule honoraire du Gabon à Bordeaux) Danièle Palazzo-Gauthier, craint désormais d’être inquiétée par la justice française et n’exclut pas d’être mise en examen. Considérée comme l’administratrice de la fortune et des biens de son père, elle est la seule à en connaître, dans le détail, l’étendue. Affaire à suivre.
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