Qui en voulait à Marien Ngouabi ?
Dans un Congo marxiste-léniniste et agité par des complots à répétition, le jeune président meurt assassiné, le 18 mars 1977. Mais par qui et pourquoi ? Dans JA, à l’époque, Sennen Andriamirado évoquait plusieurs pistes.
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Marien Ngouabi (1938-1977), président de la République du Congo. © Archives Jeune Afrique
Les grandes chaleurs de mars, qui, au Congo, accompagnent l’éclosion des complots, sont venues à bout du commandant Marien Ngouabi. Ce 18 mars [1977], le jeune président (39 ans) est abattu, dans l’enceinte même de l’état-major de l’Armée nationale populaire, par un commando ayant réussi à franchir trois barrages de sécurité.
Un an auparavant jour pour jour, il avait réchappé d’un accident d’hélicoptère, avant d’affronter, le 24 mars 1976, une grève déclenchée par la Confédération syndicale congolaise, centrale unique contrôlée par le parti.
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