Niger : Abdoul Salam Bello, un économiste au service du continent
À 45 ans, Abdoul Salam Bello est le premier nigérien nommé administrateur à la Banque mondiale, où il représente 23 pays africains. De Niamey à Washington, en passant par Riyad, Paris et Ouagadougou, retour sur une carrière déjà bien remplie, et 100 % tournée vers le développement de l’Afrique.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2022/12/07/jad20221207-gfniger-abdoul-salam-bello-1256x628.jpg)
L’économiste nigérien Abdoul Salam Bello, administrateur du Groupe Afrique II au conseil d’administration du groupe de la Banque mondiale, à Washington. © DR
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/02/17/jad20230217-objectif-niger-cover-1256x628-1676660141.jpg)
Mohamed Bazoum dans l’œil du cyclone
Au pouvoir depuis un peu plus d’un an, le chef de l’État doit composer avec les impératifs sécuritaires, les effets de la crise malienne et un sentiment anti-français grandissant. S’il a fait le choix d’apparaître comme l’allié des Occidentaux au Sahel, il sait aussi que ce pari est risqué.
« Ma ligne directrice a toujours été le développement de l’Afrique. Et pour ce faire, les organismes internationaux, en particulier les banques de développement, me semblent être les tremplins les plus impactants », explique Abdoul Salam Bello. À 45 ans, le Nigérien a enchaîné les postes au service du continent : économiste à la Banque islamique de développement (BID), en Arabie saoudite, et directeur de cabinet du secrétaire exécutif de l’Agence du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Auda-Nepad), en Afrique du Sud, chargé de projet senior à la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD).
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/02/17/jad20230217-objectif-niger-cover-1256x628-1676660141.jpg)
Mohamed Bazoum dans l’œil du cyclone
Au pouvoir depuis un peu plus d’un an, le chef de l’État doit composer avec les impératifs sécuritaires, les effets de la crise malienne et un sentiment anti-français grandissant. S’il a fait le choix d’apparaître comme l’allié des Occidentaux au Sahel, il sait aussi que ce pari est risqué.
Les plus lus
- Les fidèles d’Abdourahamane Tiani, le général à l’épreuve du pouvoir nigérien
- Dans le viseur de la justice de la RDC, Nicolas Kazadi s’envole pour Paris
- Élections législatives françaises : en Afrique, la gauche sort vainqueur du premier tour
- Comment réveiller le Gabon ?
- Léna Tall Faye, la Sénégalaise qui s’est construit un empire dans l’assainissement