Start-up : l’Algérie veut-elle concurrencer le Rwanda sur le leadership africain ?

Les engagements de la première édition de l’African start-up conference font échos à des travaux menés depuis plusieurs années par l’Alliance Smart Africa, une initiative soutenue à l’origine par Kigali.

L’African start-up conference s’est tenue du 5 au 6 décembre à Alger. © DR

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Publié le 12 décembre 2022 Lecture : 3 minutes.

Trente pays représentés, 1 000 participants, 150 experts, 100 exposants, 50 business angels, 26 ministres, des représentants de l’Union africaine (UA) et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Alger avait mis les petits plats dans les grands les 5 et 6 décembre à l’occasion de la première édition de l’African start-up conference, une initiative voulue par le ministre de l’Économie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yacine Oualid, organisée notamment par l’incubateur Algeria Ventures et soutenue par le président Abdelmajid Tebboune.

Commissariat aux start-up à l’UA

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