Au Togo, la fronde gagne l’ANC de Jean-Pierre Fabre
Sept membres de l’Alliance nationale pour le changement réclament la démission de leur président et celle du bureau national en raison, selon eux, de leur « collaboration coupable » avec le régime de Faure Essozimna Gnassingbé.
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L’opposant togolais Jean-Pierre Fabre (ici en février 2020) n’a récolté que 4,68 % des suffrages lors de la dernière présidentielle, en 2020. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP.
À peine Patrick Lawson, premier vice-président et cofondateur de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), inhumé, la fronde a gagné les rangs du parti. Le 11 décembre, sept de ses membres – dont Tévi Nathaniel Lawson, autre figure du mouvement, et des ex-responsables de la fédération internationale Europe-Asie – ont exigé la démission de Jean-Pierre Fabre et de l’ensemble du bureau national.
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