Rio Tinto plus « risqueur »
L’australien Rio Tinto est plus offensif que son « frère ennemi » BHP Billiton. Malgré des négociations difficiles en Guinée, il poursuit le développement du gigantesque gisement de fer du Simandou, après un paiement de 570 millions d’euros pour sécuriser ses droits. En RD Congo, en dépit de l’instabilité politique, il explore le fer dans l’Est. Et il n’est pas rebuté par la réglementation changeante du Zimbabwe, où il exploite du diamant, ni par la transition malgache, où il extrait de l’ilménite.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Sextapes et argent public : les Obiang pris dans l’ouragan Bello
- Burkina Faso : entre Ibrahim Traoré et les miniers, une guerre de tranchées à l’ho...
- Guinée : ce que l’on sait de la mystérieuse disparition de Saadou Nimaga
- Sécurité présidentielle au Cameroun : Dieudonné Evina Ndo, une ascension programmé...
- Ilham Aliyev, l’autocrate qui veut « dégager » la France d’Afrique