Entre le Mali et la Guinée, une « solidarité » qui coûte cher
Croissance en berne, baisse des exportations, différends avec la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). En 2022, les économies guinéenne et malienne ont connu une passe difficile. Jeune Afrique fait le point.
La sanction est tombée au premier jour de janvier. Au même titre que l’Éthiopie, la Guinée et le Mali ont été exclus de l’African Growth opportunities Act (Agoa) – loi qui permet aux pays d’Afrique subsaharienne d’exporter vers les États-Unis sans droits de douane – en raison de « l’absence de pluralisme et de l’absence de l’État de droit », selon le bureau du représentant américain au Commerce (USTR, United States Trade Representative). Conjuguée aux dissenssions avec la Cedeao, la croissance commerciale de ces deux pays s’en est trouvée très affectée.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan