Au Maroc, le revers du boom des exportations agricoles
L’essor des ventes à l’étranger de tomates, agrumes et fruits rouges est une réussite incontestable du Plan Vert du royaume. Mais le modèle agricole sur lequel repose ce succès doit aujourd’hui être revu.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/01/13/jad20230113-eco-maroc-exportations-agricoles-1256x628-1673625210.jpg)
Ramassage de fraises dans la région de Kenitra, en 2017. © Fadel Senna / AFP
Une somme de 80 milliards de dirhams, soit 7,2 milliards d’euros. C’est le montant record des exportations de produits alimentaires (agricoles et maritimes) du Maroc en 2022, un résultat « en hausse de près de 20 % par rapport à 2021 » et qui a été réalisé « malgré un contexte international et climatique difficile », a mis en avant le ministère de l’Agriculture du royaume le 9 janvier.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus – Économie
- RDC : des minerais de sang aux minerais de paix
- Pourquoi Alassane Ouattara a limogé Adama Coulibaly, patron du Conseil du coton et de l’anacarde
- La question nationale au cœur de l’économie gabonaise
- Énergie, aérien, pétrole… Qui a le plus à perdre de la « rupture » de Bassirou Diomaye Faye ?
- Sénégal et Côte d’Ivoire : échapper à la « malédiction du pétrole » à tout prix