En Israël, les raisons du très bref passage au gouvernement d’Arié Dery
Originaire de Meknès au Maroc, plusieurs fois ministres, l’ultra-orthodoxe Arié Dery avait été choisi comme numéro deux du gouvernement de coalition formé en décembre par Benyamin Netanyahou. Le 18 janvier, la Cour suprême israélienne a invalidé sa nomination.
« Un repris de justice et un récidiviste », « un corrompu et un malade d’argent ». En Israël, lorsqu’il s’agit de brosser le portrait d’Arié Dery, politiciens et éditorialistes, à gauche comme à droite, ne mâchent pas leurs mots. Pour les tenants de la moralisation de la vie politique, Dery est un cas d’école et le dernier épisode en date de son déjà long parcours politique l’illustre bien.
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