Les dessous de l’opération de lobbying pour la Zlecaf de Wamkele Mene au World Economic Forum
Avec le Covid-19, puis la guerre en Ukraine, le projet de Zone de libre-échange économique africaine est passé au second plan. Son secrétaire général l’a défendu au World Economic Forum, où il a bénéficié de l’appui du think tank britannique ODI. Coulisses.
Il n’était pas le plus connu des décideurs du continent présents à Davos, du 17 au 20 janvier, mais le Sud-Africain Wamkele Mene, secrétaire général du secrétariat de la Zone de libre-échange économique africaine (Zlecaf), aura passé toute la semaine en Suisse.
Sa mission : remettre au cœur des débats la mise en œuvre de cet accord historique, après que la pandémie de Covid-19, puis la guerre en Ukraine et les questions sécuritaires ont détourné de ce projet l’attention des décideurs africains et de leurs partenaires internationaux.
18,4 millions de livres sterling
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan