TAV, Vinci, CAAP… Quelles stratégies pour conquérir les aéroports africains

Pendant que l’argentin CAAP, le turc TAV ou l’indien GMR tentent d’entrer en Afrique subsaharienne par le Nigeria, Vinci Airports mise sur le marché lusophone.

Sur l’aéroport international d’Abuja, un Boing 787 Dreamliner. © REUTERS/Afolabi Sotunde.

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Publié le 2 février 2023 Lecture : 4 minutes.

Certains ont déjà décroché leurs premiers contrats africains, d’autres sont encore en embuscade, répondant aux appels d’offres ou privilégiant les contacts directs avec les États tentés de confier la gestion de leurs aéroports à un concessionnaire privé.

La publication, à la fin d’octobre 2022, des premiers résultats de l’appel d’offres nigérian concernant la gestion des aéroports de Lagos, d’Abuja, de Kano et de Port-Harcourt, a permis de révéler les ambitions de ces potentiels nouveaux acteurs. D’autant que si certains avaient d’ores et déjà annoncé leur intention de décrocher de nouvelles licences sur un continent où s’opère, à grande échelle, la transition du public vers le privé, d’autres, tout aussi proactifs, étaient restés plus discrets… Jeune Afrique fait le point.

• Corporación América Airports (CAAP) : les « bons » et les « mauvais » pays

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