Le divorce entre Sama et Facebook relance la controverse sur la modération en Afrique
L’entreprise kényane Sama justifie sa décision en dénonçant les conditions de travail déplorables de ses employés, et les violations des règles de modération des contenus.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/01/27/meta-scaled-e1674648060643-1536x879-1-1256x628-1674825815.jpg)
Le logo du groupe Meta à Bruxelles, le 6 décembre 2022. © REUTERS/Yves Herman
C’est une décision qui fera date. Le 10 janvier, la société kenyane Sama a annoncé qu’elle ne fournirait plus de services de modération pour Meta – maison mère de Facebook – à partir du mois de mars, alimentant ainsi le débat sur les conditions de travail chez les sous-traitants du géant américain de la tech.
À lire sur The Africa Report – Africa : Facebook’s outsourcer Sama quits as moderation
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »