L’Algérie veut relever le défi de l’essor des start-up
Entre octroi de financements et accompagnement des entrepreneurs, Alger multiplie les mesures pour favoriser la naissance de jeunes pousses. Les premiers résultats sont prometteurs.
L’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune, trois ans après
À un peu plus de la mi-mandat du président algérien, l’heure est à un premier bilan. Pour le pouvoir, « l’Algérie nouvelle » est sur la bonne voie. Pour une partie de la population, le pays est muselé.
L’Algérie vient de recenser 5 000 start-up, dont près de 1 100 ont obtenu le label « Start-up » ou celui de « Projet innovant » au moment où le nombre d’incubateurs actifs sur le territoire national serait, lui, passé de 14 à 60 au cours des trois dernières années. C’est le ministre de l’Économie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yacine El Mahdi Oualid, lui-même jeune startupper, qui a fait part de ces annonces lors de la dernière rencontre gouvernement-walis, tenue le 18 janvier.
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L’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune, trois ans après
À un peu plus de la mi-mandat du président algérien, l’heure est à un premier bilan. Pour le pouvoir, « l’Algérie nouvelle » est sur la bonne voie. Pour une partie de la population, le pays est muselé.
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