Entre le Maroc et l’Espagne, une amitié retrouvée à l’épreuve des fake news

Alors que se tient actuellement la rencontre de haut niveau tant attendue entre Madrid et Rabat, une nouvelle attaque commise en Espagne par un ressortissant marocain remet sur la table les questions sécuritaires et terroristes, sur fond d’instrumentalisation politique.

Des policiers espagnols près du corps de l’une des victimes de l’attaque d’Algeciras, le 25 janvier 2023. © Nono Rico/AP/SIPA

Publié le 2 février 2023 Lecture : 3 minutes.

Le 25 janvier dernier, Yassine Kanjaa, un ressortissant marocain âgé de 25 ans, attaquait, muni d’une machette, deux églises à Algeciras (Andalousie), tuant un sacristain et faisant quatre blessés, dont un curé. La justice espagnole a depuis placé le jeune homme en détention provisoire et ouvert une instruction judiciaire pour des faits présumés de « terrorisme », même si « toutes les hypothèses restent ouvertes ».

Le gouvernement du Premier ministre Pedro Sanchez quant à lui, notamment le ministère de l’Intérieur, a déclaré que Yassine Kanjaa n’était pas « dans les écrans radars » de la police pour « radicalisation », et préfère attendre les conclusions de l’enquête avant de qualifier la nature de l’attaque.

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