Pourquoi l’opposition algérienne est réduite au silence

Sous-représentée à l’Assemblée, privée d’espaces d’expression, ringardisée par le Hirak, l’opposition algérienne est pratiquement inaudible.

Meeting électoral des islamistes du Mouvement de la société pour la paix (MSP), à Alger, le 8 juin 2021. © BILLAL BENSALEM/NurPhoto via AFP

FARID-ALILAT_2024

Publié le 23 février 2023 Lecture : 4 minutes.

Coup d’envoi d’une vaste opération nationale de distribution de pas moins de 120 000 logements, tous types confondus, à Alger, en Algérie, le 15 novembre 2022. © APP/NurPhoto via AFP
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L’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune, trois ans après

À un peu plus de la mi-mandat du président algérien, l’heure est à un premier bilan. Pour le pouvoir, « l’Algérie nouvelle » est sur la bonne voie. Pour une partie de la population, le pays est muselé.

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Ancien ambassadeur au Mexique et en Espagne, ministre de la Communication entre décembre 1998 et juin 1999, Abdelaziz Rahabi est l’une des rares voix libres, critiques et qui s’expriment encore à visage découvert.

Personnalité publique respectée et écoutée aussi bien au sein de la classe politique que dans les sphères du pouvoir, il livre un constat sans concession et sans complaisance sur l’état des libertés en Algérie quatre années après l’avènement du Hirak.

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