Au Burkina Faso, des journalistes inquiets pour leurs libertés
Les médias burkinabè ne cachent pas leur préoccupation face aux pressions des autorités de la transition. Le 1er février, ils ont publié un éditorial commun pour défendre leur profession.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/02/09/jad20230209-ass-burkina-faso-medias-01-1256x628-1675943686.jpg)
La une de « L’Observateur Paalga », à Ouagadougou, le 3 juillet 2019 : « S’il vous plaît, je demande la permission de faire un reportage ». © Anne Mimault/REUTERS
« Nous n’avons pas l’intention de retirer la liberté de la presse. » Ce 3 février 2023, le capitaine Ibrahim Traoré répond à sa première grande interview depuis son arrivée au pouvoir, le 2 octobre 2022. Interrogé par des journalistes de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB) et de Savane TV, le jeune président de la transition tente de rassurer leurs confrères.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Au Gabon, bars et discothèques peinent encore à passer la nuit
- Photographie : 1904, l’horreur de la colonisation du Congo dans l’objectif de la missionnaire Alice Seeley Harris
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Achille Mbembe : « En France, la parole raciste a cessé d’être considérée comme scandaleuse »