Au Burkina Faso, des journalistes inquiets pour leurs libertés

Les médias burkinabè ne cachent pas leur préoccupation face aux pressions des autorités de la transition. Le 1er février, ils ont publié un éditorial commun pour défendre leur profession.

La une de « L’Observateur Paalga », à Ouagadougou, le 3 juillet 2019 : « S’il vous plaît, je demande la permission de faire un reportage ». © Anne Mimault/REUTERS

Publié le 10 février 2023 Lecture : 3 minutes.

« Nous n’avons pas l’intention de retirer la liberté de la presse. » Ce 3 février 2023, le capitaine Ibrahim Traoré répond à sa première grande interview depuis son arrivée au pouvoir, le 2 octobre 2022. Interrogé par des journalistes de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB) et de Savane TV, le jeune président de la transition tente de rassurer leurs confrères.

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