La Palestine est-elle toujours une priorité pour le Maroc ?
Depuis la normalisation des relations diplomatiques entre Israël et le Maroc en décembre 2020, Alger ne cesse de reprocher à Rabat son désengagement de la cause palestinienne. Pourtant, les projets du Comité Al-Qods, présidé depuis sa création par le roi du Maroc, laissent penser le contraire. Qu’en est-il réellement ?
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Réunion du Comité Al-Qods, en présence du roi Mohammed VI (à dr.), à Marrakech, le 25 janvier 2002. © ABDELHAK SENNA/AFP
À l’ouverture au Caire, le 12 février dernier, de la Conférence sur la protection et le soutien à la ville d’Al-Qods, le roi Mohammed VI a appelé à une « alliance mondiale pour la paix » pour défendre Jérusalem.
Représenté par le Premier ministre, Aziz Akhannouch, le souverain, en sa qualité de président du Comité Al-Qods, a rappelé que la défense de la ville sainte ne devait être « ni conjoncturelle ni circonstancielle ». Selon lui, celle-ci « doit s’inscrire dans une logique globale impliquant des initiatives diplomatiques impactantes et des actions de terrain ».
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