Affaire Pegasus : les avocats du Maroc dénoncent « l’absence de preuves »

Alors que le Parlement européen continue à enquêter sur plusieurs pays accusés d’avoir espionné des personnalités à l’aide du logiciel espion israélien, le Maroc, qui fait partie des États mis en cause, contre-attaque. Ses représentants évoquent un dossier vide.

Portrait d Emmanuel Macron lors de son discours du 12 juillet 2021 après la découverte des écoutes téléphoniques par un logiciel espion du nom de Pegasus. © Idriss Bigou-Gilles/Hans Lucas via AFP

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Publié le 17 février 2023 Lecture : 3 minutes.

L’affaire Pegasus, dans laquelle le Maroc est accusé d’avoir espionné des personnalités françaises de haut rang, dont le Premier ministre de l’époque Jean Castex et le président Emmanuel Macron lui-même, finira-t-elle par faire pschitt ? C’est ce qu’ont laissé entendre les avocats du cabinet français Lombard, Baratelli, Astolfe & associés, chargés de représenter le royaume – et en particulier ses services de renseignement – lors d’une conférence de presse organisée ce 17 février, à Paris.

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