Affaire Pegasus : les avocats du Maroc dénoncent « l’absence de preuves »
Alors que le Parlement européen continue à enquêter sur plusieurs pays accusés d’avoir espionné des personnalités à l’aide du logiciel espion israélien, le Maroc, qui fait partie des États mis en cause, contre-attaque. Ses représentants évoquent un dossier vide.
L’affaire Pegasus, dans laquelle le Maroc est accusé d’avoir espionné des personnalités françaises de haut rang, dont le Premier ministre de l’époque Jean Castex et le président Emmanuel Macron lui-même, finira-t-elle par faire pschitt ? C’est ce qu’ont laissé entendre les avocats du cabinet français Lombard, Baratelli, Astolfe & associés, chargés de représenter le royaume – et en particulier ses services de renseignement – lors d’une conférence de presse organisée ce 17 février, à Paris.
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