RDC, financement du maintien de la paix, Libye… Ce qu’il faut retenir du sommet de l’UA
Le Comorien Azali Assoumani a succédé au Sénégalais Macky Sall au cours d’un sommet marqué par les questions sécuritaires et la volonté de trouver une issue à l’interminable crise libyenne.
« Nous avons pris nos indépendances, à présent, il est temps que nous nous prenions en charge. » C’est sur ces mots que le Comorien Azali Assoumani a clos le 36e sommet de l’Union africaine (UA), organisé les 18 et 19 février dans la capitale éthiopienne.
Le nouveau président de l’UA, qui succède au Sénégalais Macky Sall, entend centrer sa présidence sur le renforcement de la sécurité sur le continent. Un préalable indispensable au bon fonctionnement de la Zone de libre échange continentale africaine (Zlecaf), dont les chefs d’État africains souhaitent accélérer la mise en œuvre en cette année 2023.
« La zone de libre échange est un plan certes ambitieux mais nécessaire pour une Afrique intégrée et développée. Nous voulons produire, consommer, exporter », a martelé le président en exercice de l’UA.
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