Pourquoi la décision du Maroc de freiner les exportations agricoles est lourde de conséquences
À un mois du Ramadan, la lutte contre l’inflation semble prendre le pas sur l’un des grands axes de la politique économique du royaume, l’essor des exportations de fruits et légumes. Les cultivateurs, de tomates en particulier, sont inquiets.
Limiter la hausse des prix à un mois du Ramadan. Tel est l’objectif des autorités marocaines, confrontées comme tous les exécutifs du continent à une poussée de l’inflation, en particulier celle des produits alimentaires, conséquence de la pandémie de Covid-19 et de la guerre en Ukraine.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan