VTC : en Afrique, Bolt veut-il aller trop vite ?
La start-up d’origine estonienne assure vouloir recruter et investir 500 millions de dollars en deux ans sur le continent, sans toutefois dévoiler de plan d’action précis.
Cent cinq millions de dollars dépensés en deux ans. Voilà la promesse d’investissement en Afrique que Markus Villig, fondateur de la start-up estonienne Bolt, a communiquée le 16 février à l’occasion d’une visite effectuée en Afrique du Sud et au Kenya.
À Nairobi, qui devient le quartier général de la jeune pousse sur le continent, le dirigeant en a profité pour négocier un accord relatif au prix minimum sur les courses, et a échangé avec le gouverneur local ainsi que le ministre des Transports et des Routes au sujet du financement de véhicules.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan