À l’OIF, Louise Mushikiwabo face à la polémique
Le départ de Geoffroi Montpetit de son poste de numéro deux de la Francophonie a suscité un début de controverse dans la presse canadienne. Totalement injustifié, selon l’institution.
Sitôt connu, à la fin du mois de février, le départ de Geoffroi Montpetit de son poste d’administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a retenu l’attention de la presse canadienne, prompte à y voir un règlement de comptes entre la Rwandaise Louise Mushikiwabo, la secrétaire générale de l’OIF, et son second. Une méfiance avivée par le souvenir de la démission, en octobre 2020, de Catherine Cano, la prédécesseur de Montpetit, elle aussi de nationalité canadienne. Comme si les médias d’outre-Atlantique cherchaient à susciter une polémique « qui n’a absolument pas lieu d’être », assure pour sa part Oria Vande weghe, la porte-parole de l’OIF, qui se refuse à établir la moindre corrélation entre les deux événements.
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