Budget, Ramadan, FMI… Après la décision de la Banque mondiale, la Tunisie retient son souffle
La Banque mondiale est un créancier incontournable de la Tunisie. Quelles pourraient être les conséquences économiques d’une longue suspension de son appui budgétaire au pays ?
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David Malpass, le président de la Banque mondiale, lors du G20 à New Delhi, en Inde, le 22 février 2023. © Amrendra Jha/The Economic Times/The Times of India via AFP
Le 21 mars, la conseil d’administration de la Banque mondiale devait examiner sa nouvelle stratégie de coopération avec la Tunisie pour la période 2023-2027. La réunion a été reportée sine die après la décision de la Banque mondiale, David Malpass, d’interrompre ses travaux en Tunisie. Le dirigeant s’est ému des violences à caractère raciste qui ont suivi le discours du président de la République tunisienne, Kaïs Saïed, contre les Subsahariens le 21 février. Si elle était confirmée, la sanction serait lourde de conséquences pour le pays. Jeune Afrique fait le point sur les impacts de cette décision sur l’économie de la Tunisie.
Sans Banque mondiale, pas de budget à l’équilibre
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