L’Afrique exclue du boom des investissements dans le gaz ?
Le boycott des hydrocarbures russes par l’Union européenne a redistribué les cartes en bousculant la demande. Une nouvelle tendance qui a un impact considérable sur les investissements gaziers.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/03/10/jad20230310-eco-guinee-gaz-gpl-1256x628-1678468319.jpg)
Vue aérienne du train GNL alimentant l’unité de liquéfaction de la Ecuatorial Guinea-Licuado Natural Gas, à punta Europa. © Renaud Van der Meeren/REA
Cinquante milliards de dollars d’investissements par an dans le secteur gazier à l’échelle mondiale jusqu’en 2028. Tel est le pronostic du cabinet de conseil Roland Berger, qui indique dans un récent rapport que cette hausse des investissements est dopée par la volonté de l’Europe – qui a boycotté les importations russes – de diversifier ses sources d’approvisionnement.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Plus de jeunes et plus de femmes : pourquoi le Maroc reste le fer de lance de la bancarisation en Afrique
- Grand Inga : pourquoi le plus grand projet électrique au monde fait encore rêver le Sud global
- Pourquoi le chinois CNPC lève le pied au Niger
- Code minier au Burkina Faso : ce qu’il faut retenir de la réforme surprise d’Ibrahim Traoré
- Comment Paul Biya replace la SNI, capital-développeur public, au centre du jeu