Pour le Maroc, Walid Regragui joue aussi les diplomates

Le coach des Lions de l’Atlas, encore auréolé par le parcours de ses joueurs au Qatar, doit jongler entre sa mission de sélectionneur et celle, moins officielle, d’ambassadeur du royaume. Le tout sur fond de polémiques, entre l’affaire Hakimi et celle des trafics de billets lors de la dernière Coupe du monde.

L’entraîneur du Maroc, Walid Regragui. © Dan Mullan/Getty Images via AFP

Soufiane Khabbachi. © Vincent Fournier pour JA

Publié le 17 mars 2023 Lecture : 4 minutes.

« Je me devais de dire mot en mon nom et au nom de tout le staff pour dire que nous sommes avec le président. Je ne pense pas que les gens qui ont bâti cette cabale médiatique soient les vrais supporters du football. Ces gens-là se trompent de cible, ce n’est pas le bon moment ».

À l’occasion d’une conférence de presse donnée le 13 mars à Rabat, au complexe Mohammed VI de football, en préparation des futurs matches amicaux contre le Brésil et le Pérou, l’entraîneur de l’équipe nationale, Walid Regragui, a pesé ses mots pour apporter son soutien au président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaâ. « Critiquer, c’est bien, être honnête, c’est encore mieux », a même ajouté le sélectionneur des Lions de l’Atlas.

Polémique

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