Algérie, Maroc, Gabon, RDC… Gagnants et perdants du coup de froid sur les cours du pétrole

De ses maxima au début de la guerre en Ukraine, le prix du baril de pétrole est passé à 72 dollars (67 euros) aujourd’hui. Une tendance à la baisse qui tend à se poursuivre, avec des conséquences diverses pour les pays africains.

Offshore profond à Girassol, Angola. © GONZALEZ THIERRY/TOTAL

MAHER-HAJBI_2024

Publié le 21 mars 2023 Lecture : 2 minutes.

Après une année hautement volatile, où le baril a frôlé les 140 dollars (130,6 euros), le Brent a chuté, mi-mars, à 72,2 dollars, et à 65,8 dollars pour West Texas Intermediate, soit leurs plus bas niveaux depuis décembre 2021. Une chute liée aux multiples pressions sur le système bancaire et aux craintes de récession mondiale, explique Goldman Sachs.

Dans son dernier rapport, la banque d’investissement américaine – qui misait sur des prix supérieurs à 100 dollars le baril entre 2023 et 2024 – a revu ses prévisions à la baisse. Désormais, et alors que le secteur bancaire mondial est en difficulté dans un contexte de remontée des taux d’intérêt et de resserrement des conditions financières, le prix du baril de brut ne devrait plus dépasser la barre des 100 dollars, pour se situer aux alentours des 85 à 95 dollars, d’après Goldman Sachs. Mais quelles seront les répercussions de la chute des prix sur les pays africains ?

Coup de pompe

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