Au Burkina Faso, Ibrahim Traoré sous pression sécuritaire
Six mois après son arrivée au pouvoir, le capitaine Traoré continue à jouir de la confiance d’une partie de ses concitoyens. Pourtant, les résultats de la lutte contre les groupes jihadistes se font attendre.
Lorsqu’il est arrivé au pouvoir, le 2 octobre 2022, il avait promis qu’il réglerait en trois mois ce que son prédécesseur n’avait pas réussi à régler en huit. Plus de six mois après, le capitaine Ibrahim Traoré, tombeur du lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, à qui il reprochait son manque de résultats sécuritaires, a su s’attirer la sympathie de nombreux Burkinabè, mais il n’est guère parvenu à améliorer une situation sécuritaire toujours alarmante.
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