Wagner, Touadéra et les Chinois assassinés : coulisses d’un malaise d’État
Depuis le meurtre de neuf Chinois, le 19 mars en Centrafrique, la tension monte à Bangui entre le gouvernement, la diplomatie de Pékin… et les Russes de Wagner, montrés du doigt.
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Le président Faustin-Archange Touadéra, à l’Assemblée générale des Nations unies, le 20 septembre 2022. © EDUARDO MUNOZ/REUTERS
Le président centrafricain s’en serait bien passé. Faustin-Archange Touadéra doit gérer l’épineux dossier de la mort de neuf Chinois, le 19 mars aux alentours de la mine de Chingbolo, dans la région de Bambari. Les victimes, dont les assassins n’ont pas encore été identifiés, travaillaient pour la compagnie chinoise GoldCoast Group.
Discrètes dissensions au gouvernement
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