En Tunisie, face à l’instabilité, la Biat refuse les risques
Malgré un rajeunissement à la tête de la première banque privée tunisienne avec l’arrivée prochaine de Moez Hadj Slimen, les actionnaires de référence de la Biat misent sur la prudence.
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Moez Hadj Slimen, le nouveau DG de la Biat. © DR
En ce moment, en Tunisie, peu d’organisations peuvent être qualifiées de stables. La Banque internationale arabe de Tunisie (Biat) est l’une d’entre elles.
La Biat est non seulement le premier établissement bancaire du pays en termes de produit net bancaire, mais c’est aussi celui qui a connu la croissance la plus importante (+248,5 millions de dinars, soit +73,3 millions d’euros) en 2022, soit quatre fois plus que son dauphin, la banque publique BNA.
Transition digitale
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