Pourquoi le patronat camerounais a décidé de faire front commun

Yaoundé a longtemps joué des rivalités qui opposaient les deux grands mouvements patronaux du pays. Le 5 avril, Ecam et Gicam vont, à la surprise générale, signer un traité de fusion.

Célestin Tawamba, président du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam). Ici, à Paris, le 28 janvier 2020. © Vincent Fournier/JA

Publié le 4 avril 2023 Lecture : 2 minutes.

Courant mars, Célestin Tawamba, le président du Groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam) et Protais Ayangma, président d’Entreprises du Cameroun (Ecam), ont réuni leurs conseils d’administration respectifs pour soumettre à la délibération le projet de fusion des deux plus grandes organisations patronales du pays.

Demain, 5 avril, les deux dirigeants officialiseront leur rapprochement lors d’une cérémonie organisée à Douala. Protais Ayangma, d’Ecam (600 adhérents) et Célestin Tawamba du Gicam (1 000 adhérents) signeront un traité de fusion qui aboutira à la formation d’une nouvelle entité, dont le nom n’a pas encore été dévoilé.

Tawamba président

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