Maroc, Algérie, Tunisie… Qui remportera la course de l’hydrogène vert ?
Engagés dans des partenariats stratégiques, Rabat, Alger et Tunis se ruent vers l’hydrogène vert. Si les intentions sont diverses, le déploiement des projets de production demeure une priorité.
Présenté comme l’énergie du futur, l’hydrogène vert suscite un engouement sans précédent. Désireux de réduire leur empreinte carbone et leur dépendance aux énergies fossiles, notamment depuis la crise énergétique déclenchée par la guerre en Ukraine, de plus en plus de pays s’intéressent à la filière. Doté d’un grand potentiel de production en énergies renouvelables, le continent africain est également dans les starting-blocks. « L’Afrique peut garantir l’accès à une énergie propre et durable sur le continent et devenir un acteur mondial de l’énergie grâce aux exportations d’hydrogène vert », souligne une récente étude commandée par la Banque européenne d’investissement (BEI), l’Alliance solaire internationale et l’Union africaine.
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