L’Afrique, grande perdante de l’accord sur les céréales ?

L’initiative sur les exportations de céréales d’Ukraine et de Russie est prolongée jusqu’en mai. L’occasion de faire le point sur les bénéfices qu’a pu en tirer le continent.

Détroit du Bosphore à Istanbul, le 31 octobre 2022. © UMIT BEKTAS/REUTERS

Publié le 8 avril 2023 Lecture : 3 minutes.

En anglais, on l’appelle la Black Sea Grain Initiative : l’initiative sur les céréales de la mer Noire est cet accord qui doit faciliter la sécurité de la navigation pour les céréales, les denrées alimentaires et les engrais expédiés à partir des ports maritimes ukrainiens.

Depuis sa signature en juillet 2022, quelque 25 millions de tonnes de céréales et de denrées alimentaires ont été exportées vers 45 pays. Avant la guerre, la Russie et l’Ukraine figuraient parmi les dix premiers producteurs de blé au monde et parmi les cinq plus grands exportateurs de céréales et d’engrais vers l’Europe, l’Asie et l’Afrique.

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Le « consommer local », bientôt une réalité en Afrique ?

Comment sortir l’Afrique de sa dépendance aux céréales importées

Contenus partenaires