L’opposition togolaise va-t-elle faire son grand retour ?

De Jean-Pierre Fabre à Gerry Taama, en passant par Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, à l’approche des législatives – qui doivent se tenir d’ici au début de décembre – la plupart des leaders politiques entrent en campagne, y compris ceux qui avaient boycotté le scrutin de 2018.

Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson (g.) et Jean-Pierre Fabre (d.) lors d’un rassemblement organisé le 8 septembre 2017 à la résidence du leader du Parti national panafricain (PNP) Tikpi Atchadam, à Lomé. © REUTERS

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Publié le 19 mai 2023 Lecture : 5 minutes.

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Sécurité, démocratie, économie… Le Togo à l’épreuve

Médiateur dans les crises qui secouent le Sahel, engagé dans la lutte contre la menace jihadiste et relativement résilient face aux chocs économiques externes, Lomé est devenu une référence régionale. Mais, trois ans après la réélection de Faure Essozimna Gnassingbé, les législatives prévues dans les quelques mois vont constituer un véritable test démocratique.

Sommaire

Cinq ans après le boycott des précédentes législatives par l’alliance C14, qui regroupait 14 partis d’opposition, celles prévues d’ici à la fin de l’année vont constituer un véritable test pour les partis politiques et leurs leaders. La compétition s’annonce rude et les résultats pourraient être serrés.

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